Fleur de prunier

Maou,

ISBN:978-2-88901-231-2, 2023, 176 pages, 25€

Fleur de prunier raconte le parcours épique d’Annick et Francis pour devenir parents au début des années 1990.
Après d’éprouvantes tentatives de procréation médicalement assistée, le couple part précipitamment à l’autre bout du monde, en quête d’un enfant à adopter.

Un voyage mouvementé dans la chine de l’après révolution culturelle où sévit la politique de l’enfant unique; une aventure qui changera leurs vies à jamais.

 

 

Format Imprimé - 32,00 CHF

Description

Payer les chauffeurs de taxi en cigarettes américaines, recruter des étudiants pour assister aux réunions avec les fonctionnaires et ne jamais s’approcher d’un attroupement : trois règles d’or à respecter lorsqu’on essaie d’adopter un enfant en Chine en 1990.

Sur un ton léger et drôle, cette bande dessinée ne raconte pas seulement l’histoire de Maou et de ses parents. À travers le récit et les dessins, Maou projette le lecteur quarante ans en arrière. Si les lieux que l’on peut reconnaître ont bien changé, les stéréotypes sur l’infertilité, la parentalité, la maternité… n’ont pas tellement évolué…
Une partie documentée fait suite à la bande dessinée et donne un éclairage sur la politique de l’enfant unique et le contexte de la Chine à cette époque.

 

VERNISSAGE DE L’EXPOSITION DES PLANCHES ET DE LA BD
VENDREDI 5 MAI À 18H AUX ARCADES DE PLATEFORME10!
Dans le cadre de BDFIL!

Carte blanche pour l’exposition autour de la nouvelle BD de Maou
Table ronde avec Maou et Daria Michel Scotti: « Quand l’adoption engendre la création »
Rencontre avec Maou: RTS – Dans sa bulle
Visite de l’exposition

Tournée de rencontres/dédicaces

Du 5 au 14 mai / dédicaces au Festival BDFil Lausanne

Samedi 20 mai à 14h / dédicaces à la librairie Sacrées bulles, Yverdon

Samedi 10 juin à 14h / dédicaces à la librairie La Bulle, Fribourg

Samedi 24 juin :
> à 10h / dédicaces à la librairie Zalactorée, Martigny
> à 14h30 / dédicaces à la librairie Le Corbac, Sion

Extrait des planches

©Maou

Presse

Chronique dans LE MONDE
Monde des livres

Infertiles, Annick et Francis se lancent, au début des années 1990, dans un parcours d’adoption dans la Chine de l’après-Révolution culturelle. Ils ne sont autres que les parents de la dessinatrice Maou, qui prend ici le point de vue de sa mère pour raconter ce périple en courts fragments évoquant le choc culturel, l’épopée bureaucratique et la barrière de la langue, dans un combat où tout ne tient qu’à un fil et au bon vouloir des gens croisés… L’originalité et la saveur du récit tiennent à ce qui est raconté tout en anecdotes – celles qui restent accrochées aux souvenirs de longues années – et au choix de l’autrice de représenter ses personnages en animaux, ajoutant une forme de naïveté et de cocasserie à une histoire déjà peu banale.
P. Cr.

 


Maou sur le plateau de Julie Evard, invitée au 12h45
22 juin 2023 >> voir l’émission

 


Le Temps
À l’encre de Chine

Elle a dessiné plus de bestioles que Noé n’en a embarqué sur son arche. Parce qu’elle a été dégoûtée par les cours de dessin sur modèle vivant à l’école? Toujours est-il que lorsque l’envie de raconter des histoires lui est venue, elle a décidé de représenter les êtres humains sous forme animale, par inclination personnelle et pour s’inscrire dans une tradition de la fable. Cette option facilite l’identification, puisqu’un animal n’est «ni homme, ni femme, ni Suisse, ni Chinois, ni Africain… On évite les discriminations». L’implantation géographique ne détermine en rien la taxonomie des personnages. Les Chinois n’ont pas des têtes de pandas ou de pangolins. Une famille française peut compter dans ses rangs une girafe, un zèbre et une grenouille… En fin de compte, «on est tous des humains avec une histoire plus ou moins compliquée ». Cette ménagerie fantaisiste participe du charme prenant de Fleur de prunier, le roman graphique que vient de publier Maou et dont elle est le centre à défaut d’être l’héroïne.

Divin poupon
L’héroïne, c’est sa mère, Annick, dont le désir d’enfant déplace les montagnes. N’arrivant pas à tomber enceinte, la jeune femme décide d’adopter. Le livre fait entendre sa voix, retrace sa quête. »Avec Francis, son mari, elle part en Chine où la politique de l’enfant unique provoque une hécatombe de bébés filles – on avance le chiffre de 15 millions de victimes… Plongé dans une culture relativement hermétique, confronté aux chicaneries des administrations chinoise et française, le couple se démène pour ramener la fillette chez lui. Maou apparaît sur une double page, divin poupon enrubanné de phylactères extatiques exprimant l’ivresse de l’amour maternel.

Cette image iconique transporte le lecteur, mais l’auteure s’est dessinée avec un certain détachement: «Ma mère m’a tellement raconté ce moment! C’est comme un film qu’on aurait vu 100 fois, le regard n’a plus la même fraîcheur. Ou alors est-ce un mécanisme de défense personnel?» Remarquable coloriste comme en témoignent les aquarelles de son livre La Faute au loup (aux Editions Fleurs bleues), Maou a adopté le noir et blanc pour Fleur de prunier selon une logique imparable: «Comme on parlait de Chine, j’ai spontanément pensé à l’encre de Chine.» La petite Maou, Meili Gernet pour l’état civil, grandit à Paris, auprès de ses parents. Elle garde un lien avec son pays d’origine, notamment grâce à son grandpère, Jacques Gernet, fameux sinologue. Entre 15 et 18 ans, elle prend le chinois en option langue vivante et suit des cours de calligraphie. Aimée et soutenue par ses parents, elle n’a pas souffert d’être adoptée. A l’école, elle comprend toutefois qu’elle est différente. Les enfants se moquent. Elle s’attire des remarques telles «Tu es travailleuse parce que tu es Chinoise», «Tu sais faire des massages?» ou, plus insidieux, voit transparaître un imaginaire de la femme exotique. Qu’est-ce qui a mené Maou au dessin? «La vie…» Il y avait les classiques de la bande dessinée à la maison, Tintin, Spirou, Astérix, Lucky Luke, mais aussi ces précis du nonsense que sont Le Génie des alpages et LeConcombre masqué. Il y avait encore le sentiment que montrer une situation à travers un dessin est plus fort que de dire: «A ce moment, j’ai ressenti ça…» En 2009, Maou vient à Lausanne étudier le graphisme à l’ECAL. Elle y est restée. En 2013, à la veille de la deadline de remise des travaux, on lui parle du concours Nouveaux Talents organisé par BDFIL. Elle frappe in extremis à la fenêtre du bureau du festival lausannois. Sa planche vaut le 3e prix à celle qui n’avait jamais vraiment pensé à la bande dessinée. Pendant le festival, elle rencontre des éditeurs dont Hélice Hélas, qui publie son premier livre, HEJ!.

«Fleur de prunier»
Puis «les filles de La Bûche», ce collectif de dessinatrices travaillant à rendre visible le travail des autrices, comptant aujourd’hui quelque 120 membres, prennent contact avec elle. Elle s’y épanouit: «On s’y retrouve entre amies. On suit le travail des unes et des autres. Il y a de la place pour tout le monde, pas de compétition, juste de l’entraide professionnelle. On se file des tuyaux sur la qualité des feutres ou le choix d’une imprimante.» Lorsque, dans le cadre de BDFIL 2023, Maou a monté sur le site de Plateforme 10 sa première exposition, recréant le minuscule appartement de ses parents à Shanghai en 1990, elle a eu une grosse angoisse. Appelée à l’aide, les Bûcheuses l’ont aidée à surmonter le trac. «J’aime bien tout faire», s’enflamme Maou. Jusqu’au plateau de cookies sur la cuisinière, son appartement-atelier dans l’Ouest lausannois, un lieu enfoui dans la pénombre de la verdure environnante, un capharnaüm créatif rempli de plantes vertes, de peluches et de papiers, témoigne d’une hyperactivité joyeusement assumée. Les murs s’ornent de dessins magnifiques. Deux chats rôdent. Dans la pièce du fond, la dessinatrice imprime les t-shirts de la grève des femmes. «Meili» signifie «Fleur de prunier». Et Maou? D’où vient ce pseudonyme? De son habitude de répondre par un miaulement pour éluder une question…

Un article d’Antoine Duplan dans le Temps, le vendredi 9 juin 2023.

 


24heures – Maou raconte son adoption avec humour

Maou, quand elle se dessine, représente un visage de chat orné de longs cheveux bleus et posé sur un corps humain. Normal, c’est ainsi qu’elle illumine la bande dessinée de ses personnages animaliers, «pour montrer les choses sous un autre angle et surtout faire rire les gens». Meili Gernet, de son vrai nom, a eu droit à un vernissage à BD-FIL pour son 4e album, «Fleur de Prunier». Il raconte son adoption en Chine en 1989, forcément avec légèreté et humour, mais aussi avec sensibilité.

Ici, c’est sa mère adoptive, Annick, qui lui raconte l’aventure de son adoption. La belle «renarde» parisienne et son mari Francis ne peuvent pas avoir d’enfant, malgré des tentatives de procréation médicalement assistée. Le père de Francis est un des meilleurs sinologues français, et c’est par lui et sa femme que démarre l’idée chinoise, avec l’aide de leur réseau sur place.

Oui, Annick et Francis partent fin 1989 à Shanghaï y chercher un bébé qu’ils nomment Meili, ce qui veut dire «fleur de prunier» en chinois. La République démocratique vit toujours sous le règne de l’enfant unique, qui a conduit à la disparition de 15 millions d’enfants abandonnés, principalement des filles, puisque les parents leur préféraient des garçons. Maou le raconte à la fin de son roman graphique en noir et blanc, comme un contexte qui transparaît dans l’histoire de ces deux Européens perdus dans un monde qui les dépasse souvent, une administration à laquelle ils ne comprennent rien.

La graphiste lausannoise, sortie de l’ECAL, réalise aussi des vidéos numériques pour la RTS. Impliquée dans le collectif suisse La Bûche, qui réunit une centaine d’autrices de BD suisses, Maou expose aussi pas mal. Avec ce nouvel album, elle continue son chemin, s’inspirant de ses expériences pour ses productions, comme elle l’avait fait avec son travail chez Ikea ou dans une fédération sportive, ou son expérience d’écovolontaire en Méditerranée.

Article de David Moginier dans le 24heures, 31 mai 2023

 


Maou invitée de Céline Argento sur le plateau de Léman Bleu TV, le 16 mai 2023 >> voir l’émission

L’illustratrice et auteure sort un livre appelé «Fleur de prunier». Elle y raconte le combat de ses parents pour avoir un enfant dans les années 90, et le recours à l’adoption en Chine. 

«Fleur de prunier», c’est l’histoire de Maou, ou plutôt de ses parents. «Ils étaient les deux infertiles, c’était seulement les débuts de la PMA. Et puis un jour, ma mère s’est réveillée avec une révélation: “Finalement mon enfant sera adopté”», explique l’auteure. À partir de ce moment, le couple va se lancer dans des procédures d’adoption, avant de partir au lendemain de la révolution culturelle chinoise avec l’envie de revenir avec un enfant.

Les deux futurs parents débarquent dans une Chine très pauvre et sale. À ce moment-là, la politique de l’enfant unique fait partie de l’ADN du pays et les orphelinats débordent de petites filles. L’auteure a choisi de consacrer une partie de l’histoire à cet aspect.  Puis vient le moment où ils adoptent leur fille. «J’ai grandi avec cette histoire, ma mère m’a toujours raconté ces petites anecdotes. Et puis un jour, je me suis dit qu’il fallait que j’en fasse une BD.»

 

 


RTS – Dans sa bulle
podcast de Patrice Rullier/Société écran média, série du 11 mai 2023

“Dans sa bulle”, est une série digitale immersive dans l’univers et le processus de création des jeunes auteur·e·s de BD et illustrateur·ice·s suisses romand·e·s.

Entrez dans la bulle de l’autrice et dessinatrice Meili Gernet, alias Maou, qui nous présente sa BD intitulée « Fleur de prunier » ou comment, dans les années 90, ses futurs parents adoptifs alors infertiles et désespérés se retrouvent en Chine à une époque encore très fermée aux étrangers.

>> vers l’émission

 


Maou met en bulles le récit de son adoption dans « Fleur de prunier »

Dans « Fleur de prunier », l’illustratrice romande Maou raconte, en mots et en dessins, le parcours de ses parents qui les a conduits à venir à sa rencontre dans un orphelinat de Shanghai.

Nous sommes dans la deuxième moitié des années 1980. Annick et Francis rêvent de devenir parents, mais la nature ne leur accorde pas cette chance. C’est alors que s’engage un parcours de combattante pour la future maman qui se lance dans d’éprouvantes tentatives de procréation médicalement assistée. Souvent dépourvu d’empathie et de délicatesse, le corps médical laisse la jeune femme dans un profond désarroi.

D’autant plus qu’autour d’elle les appels à la maternité sont incessants, l’obsession colonise ses nuits, les insomnies se succèdent… jusqu’à ce que le déclic advienne: assise sur le matelas conjugal, Annick, dessinée sous l’aspect mi-humain mi-zèbre, (l’autrice étant habituée à donner à l’ensemble de ses personnages un aspect mi-animal mi-humain), affublée d’un T-shirt à la couverture mythique de l’album « The Dark Side of The Moon » de Pink Floyd, s’écrie:

Fini les FIV…Je vais adopter!
Extrait de la bande dessinée « Fleur de Prunier » de Maou

Plusieurs rencontres

S’ouvre alors pour le couple un deuxième parcours du combattant. Grâce à des contacts et amis de la famille, ce sera en Chine que leur désir d’enfant se réalisera. Plus précisément à Shanghai, sur le continent asiatique, que l’enfant tant espéré les attend. Du jour au lendemain, Annick et Francis, aux traits mi-ours mi-humain, embarquent dans un avion où la plupart des passagers parlent une autre langue.

Les bulles de « Fleur de prunier » se remplissent ainsi de sinogrammes dont l’autrice nous invite à découvrir la traduction en fin d’ouvrage. La bande dessinée, réalisée à l’encre de Chine, (il n’y a pas, ou peu, de hasard), ne fait pas que conter la rencontre entre une enfant et ses parents; elle raconte aussi le choc provoqué par les contrastes culturels.

« J’avais envie de montrer la Chine de manière dépaysante, mais aussi très tendre, que les gens se rendent compte que les Chinois ce ne sont pas des hordes de touristes qui crachent par terre et qui parlent très fort, mais qu’ils sont aussi très drôles… »
Maou

« Fleur de prunier » est aussi l’occasion pour l’autrice – par ailleurs collaboratrice de la RTS – de faire découvrir aux Occidentaux un pays et une population qui souffre de son histoire et des préjugés dont Maou sera elle aussi victime. La Chine de la fin des années 1980 et du début des années 1990 est encore très fermée, la répression est vive. Lorsque Maou croise le regard d’Annick et Francis pour la première fois, les événements de la place Tian’anmen ne datent que de sept ou huit mois.

Politique de l’enfant unique

Le retour en France s’annoncera plus compliqué que prévu, mais désormais la petite Meili (Fleur de prunier en chinois) est aussi précieuse que la prunelle des yeux de sa maman et de son papa. Avec sa houppette de cheveux réfractaire à toute tentative d’aplatissement pour paraître plus sérieuse sur les photographies nécessaires à la finalisation des papiers d’adoption, le bébé ne quitte plus les bras de sa maman.

En filigrane de l’histoire de Maou, il y a le sort et le destin des bébés filles de cette époque, où la politique de l’enfant unique était encore en vigueur en Chine. Cette période post-révolution culturelle fait d’ailleurs l’objet d’un chapitre dans le livre qui dévoile l’ampleur du phénomène et ses conséquences.

« Fleur de prunier » est un ouvrage à s’offrir et à offrir absolument, tant les voyages auxquels il invite sont riches, profonds, sensibles, instructifs, émouvants, drôles et inattendus.

Article de Céline O’Clin, RTS Culture, 12 mai 2023

 

 


10 ans après, la dessinatrice romande Maou confirme son talent

Alors qu’elle avait remporté le concours «Dessinateurs de demain» en 2013, la jeune femme a droit à une carte blanche offerte par BDFIL pour mettre en scène son adoption en Chine.

Comme quoi, le concours «Dessinateurs de demain» de BDFIL tape juste. En 2013, c’est la jeune Maou qui l’avait remporté. Et la Lausannoise a depuis a confirmé son talent puisqu’elle a publié «HEJ!» «La Fédération», s’est impliquée au sein du collectif «La Bûche» et a adapté le roman d’Yves Mugny «La Faute au Loup». Rien de plus normal qu’elle soit donc la première à bénéficier d’une carte blanche de la part du festival lausannois nouvelle formule. L’idée sera chaque année de valoriser un artiste de la nouvelle génération en Suisse romande.

Maou, de son vrai nom Meili Gernet, a donc pu scénographier à sa guise un lieu d’exposition qui ne se trouve pas à la Rasude, mais dans les Arcades de Plateforme 10 à quelques centaines de mètres de là. Elle y présente de manière extrêmement originale sa nouvelle BD, «Fleur de Prunier» qui paraît, cela tombe bien, ce vendredi 5 mai.
Comme à son habitude, ses personnages humains ont des têtes d’animaux, un procédé classique en BD et qui fonctionne toujours aussi bien. Maou raconte une histoire très personnelle: celle de son adoption en Chine au début des années 1990. Mais c’est sa mère qui parle à la première personne dans l’album.

Un choc des cultures

Maou, diplômée de l’ECAL a un talent de mise en scène étonnant, avec un graphisme en noir et blanc d’une subtile élégance. C’est également une narratrice douée. Outre l’aventure humaine que représente de toute façon une adoption, sa BD nous fait vivre un choc des cultures d’autant plus fort que, Tian’anmen passé, la Chine s’est refermée sur elle-même et les étrangers y sont rares. Les difficultés pour les parents parisiens de parvenir à adopter là-bas vont être énormes.
Ce récit nous apprend également combien de fillettes ont été abandonnées et sont mortes du fait de la politique de l’enfant unique qui poussait les familles qui voulaient presque toutes un garçon à cacher la naissance d’une fille. Meili a-t-elle fait partie de celles-ci ou, comme ses parents se le sont parfois imaginé, est-elle le bébé d’une étudiante arrêtée suite aux événements? On l’ignore, mais son récit est extrêmement attachant.
Il l’est d’autant plus lorsqu’on découvre dans son expo la reconstitution du petit appartement qu’occupaient ses parents à Shanghai. Le vernissage a lieu ce vendredi 5 mai, dès 18 h. Maou fera une visite commentée de son expo les 6 et 13 mai à 11 h 30. Dimanche 7 mai, à l’Espace mini, elle participera à une table ronde: «Quand l’adoption engendre la création».

Article de Michel Pralong pour lematin.ch, le 5 mai 2023

 

 


VERTIGO EN DIRECT DE BDFIL
04 MAI 2023
17:00 – 18:00
au STUDIO RTS de BDFIL
Vertigo, la quotidienne culturelle de La Première de la RTS, prend ses quartiers à BDFIL, pour une heure d’émission en direct et en public jeudi 4 mai, de 17h à 18h.

Maou, Lika Nüssli, Amélie Strobino et Pierre Schilling seront les invité·es d’Anne Laure Gannac, pour parler de leurs actualités d’artiste et du réseau suisse de bédéistes : quel est-il aujourd’hui ? Comment le développer ? Et quelle place les femmes y occupent-elles ?

Rendez-vous jeudi 4 mai de 17h à 18h sous les voûtes magnifiques de la Rasude à Lausanne (place de la Gare 1)

Modération
Anne Laure Gannac

RENCONTRE AVEC MAOU
14 MAI 2023
14:00 – 15:00
au STUDIO RTS de BDFIL

RTS – Dans sa bulle
« Dans sa bulle », c’est une immersion dans l’univers et le processus de création des jeunes auteur·e·s de BD et illustrateur·ice·s de Suisse romande. Chaque portrait se découpe en 3 parties : description de leur technique de dessin (traditionnelle, digitale), description de leur bulle de travail, dialogue autour de leur dernier projet et d’une thématique centrale de ce dernier. Cette série de portraits vidéo nous amène au plus près de ces artistes étonnant·e·s, aux profils et aux coups de crayons bien différents. Leur point commun : la passion du dessin et des histoires.

Modération
Patrice Rullier, co-auteur et co-réalisateur de la série

Liens audio et vidéo

Maou sur le plateau de Julie Evard, invitée du 12h45, le 22 juin 2023 >> voir l’émision


Maou invitée de Céline Argento sur le plateau de Léman Bleu TV, le 16 mai 2023 >> voir l’émission


RTS – Dans sa bulle
podcast de Patrice Rullier/Société écran média, série du 11 mai 2023 >> vers l’émission


VERTIGO EN DIRECT DE BDFIL, 04 mai 2023

Maou, Lika Nüssli, Amélie Strobino et Pierre Schilling seront les invité·es d’Anne Laure Gannac, pour parler de leurs actualités d’artiste et du réseau suisse de bédéistes : quel est-il aujourd’hui ? Comment le développer ? Et quelle place les femmes y occupent-elles ?
Modération
Anne Laure Gannac